Point d'écoute #17
Consolat-Mirabeau - Points de vue avec Yohanne Lamoulere
Yohanne Lamoulère
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- Lieux : Consolat-Mirabeau, 13015 Marseille
- Point d'écoute : Parc Séon - Terre plein en haut du parc
- Mots clés : Bien commun, Ensemble, Habitat
- Accès : Arrêt de bus Littoral Résidence Consolat - désservi par les lignes de bus 35, 36 et 36B
A 6 minutes à pied depuis l'arrêt de bus - période conseillée : Toutes périodes conseillées.
Le parc Séon ouvre à 8h00 et ferme ses portes à 19h30, priviligiez donc d'arriver sur place avant 18h30.
Lieux exposé au vent, prévoyez de quoi vous couvrir. -
Avec
Cheyreen Gherab
Soly, de la Sound musical school B.Vice
- Extrait film :
1,2,3 soleil Bertrand Blier
La ville est tranquille oe Robert Guédiguian
- Musiques :
Rachid Taha - Happy End
Bumcello - Valse du cartel
Soria 9 Sevilla - Lloran los clarines
Une co-production Radio Grenouille - Euphonia et Grand Bonheur.
Réalisation : Jean-Baptiste Imbert
Suivi de production : Charles Sinz
Résumé
Partir de l'extérieur de la ville et descendre à Marseille depuis les quartiers nord, en empruntant l'A7 ou l'A55. Consolat-Mirabeau, c'est un spot, un point de vue idéal. On se gare dans le quartier, on emprunte un petit chemin bucolique parsemé de bancs, on serpente, on grimpe jusqu'à la plateforme en béton qui s'insère dans le paysage juste au-dessus de l'A55 face au port, au beau milieu de la Rade Nord.
Photo : Consolat-Mirabeau, 2016
Biographie de l'auteur
«Yohanne Lamoulère naît en 1980, pas très loin de la Méditerranée. Elle obtient son bac aux Comores, prépare une licence d'histoire de l'art à Montpellier, puis est diplômée de l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles en 2004, et s'installe finalement à Marseille. Yohanne n'a jamais eu la fibre du portraitiste mercenaire, dont le cadrage gommerait docilement le personnage tombé en disgrâce pour mieux inclure le «fils de» promis à un bel avenir. Elle préfère la compagnie des gens, pas parce qu'elle en aurait fait un épais concept, mais parce que c'est là où elle vit. Elle met du sien dans ses images sans jamais basculer dans le nombrilisme, cette subjectivité sans fond qui rend le monde plus opaque qu'il ne l'est vraiment». Bruno Le Dantec.
Site web https://www.yohannelamoulere.fr