Point d'écoute #18
Corbieres Plages - Points de vue avec Yohanne Lamoulere
Yohanne Lamoulère
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- Lieux : Corbieres, 13016 Marseille
- Point d'écoute : Parking Jardin et Plages de Corbieres.
- Mots clés : Populaire, Méditerranée, Marseille, Eau, Rocher
- Accès : Hors période estivale :
Arrêt de bus Estaque Riaux, terminus de ligne de bus 35. Marcher ensuite 20 minutes jusqu'au Parking Jardin et Plages de Corbieres.
En période estivale :
Arrêt de Bus Plages de Corbieres, terminus de la ligne de bus 35. Marcher ensuite un peu moins de 5 minutes.
- période conseillée : Toutes périodes conseillées.
Privilégiez toutefois la période d'été si vous n'êtes pas fan de marche, le terminus du bus étant plus éloigne (voir la partie Accès pour plus d'informations) -
Avec
Sam Karpienia
Cheyreen Gherab
- Musiques :
Rosalia - DE AQUI NO SALES
The Herbaliser - Good Girl Gone Bad (Instrumental)
A l'esper - De La Crau
Une co-production Radio Grenouille - Euphonia et Grand Bonheur.
Réalisation : Jean-Baptiste Imbert
Suivi de production : Charles Sinz
Résumé
C'est un drivin' de la mer, un endroit où l'on s'arrête en voiture, à la sortie ou à l'entrée de la ville, une frontière, un échappatoire. C'est le promontoire des plages de Corbières situé à quelques kilomètres du noyau villageois de l'Estaque. En empruntant le tunnel du Rove, tu peux dire bonjour ou ciao à Marseille accompagné par le bruit des vagues.
Ce point d'écoute ont été réalisés dans le cadre du festival Avec Le Temps 2024.
Photos : La pêche à la Saupe, l'Estaque 2015
Biographie de l'auteur
«Yohanne Lamoulère naît en 1980, pas très loin de la Méditerranée. Elle obtient son bac aux Comores, prépare une licence d'histoire de l'art à Montpellier, puis est diplômée de l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles en 2004, et s'installe finalement à Marseille. Yohanne n'a jamais eu la fibre du portraitiste mercenaire, dont le cadrage gommerait docilement le personnage tombé en disgrâce pour mieux inclure le «fils de» promis à un bel avenir. Elle préfère la compagnie des gens, pas parce qu'elle en aurait fait un épais concept, mais parce que c'est là où elle vit. Elle met du sien dans ses images sans jamais basculer dans le nombrilisme, cette subjectivité sans fond qui rend le monde plus opaque qu'il ne l'est vraiment». Bruno Le Dantec.
Site web https://www.yohannelamoulere.fr